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skyrock.com homepage blogs profils chat apps music sources videos gifts log in create your blog search blog just forget the world ch-asing-cars description: i was lost...i just followed the light and i found you. my angel. we accept the love we think we deserve the perks of being a wallflower. and i love you, i love you, i love you like never before songbird ~ send a message give a gift follow block awards (9) » more share tweet friends 0 design by ch-asing-cars report abuse info created: 31/12/2012 at 7:24 am updated: 18/05/2013 at 4:26 pm 5 articles 87 comments 66 friends 72 favourites 77 hearts my archives (5) » more their fans (72) » more sources (72) soundtrack of my life play loove song. chasing cars . (eyes open) add subscribe to my blog! rss chasing cars aimer ? vivre ? rire ? sourire ? il ya longtemps oui, j'en tais capable... j'teins la tl ainsi que mon ordi.prenant mon portable au passage, j'envoie quelques sms avant de le jeter sur le lit. ouvrant la fentre je m'empare d'un briquet afin d'allumer le bout de mon joint. la fume s'insinue dans mon tre, mes poumons et je me sens bien. la drogue, l'alcool, le sexe. voici donc quoi se rsume ma vie. encore une fois et la fume envahie mon cerveau et mes penses. cette nuit sera longue, ce soir sera magique. je me lve du rebord, aprs avoir jet mon mgot dans la rue. je m'apprtais quitter mon appart lorsque mes muscles dcident de se ttaniser. impuissant et incapable, je tombe genoux, pleurant... tant de faiblesse, trop de faiblesse... un marteau-piqueur en tte. je russi attraper la plaquette de pilules. en prendre le maximum quelques minutes suffisent et je commence pouvoir remarcher. je prends ma veste, du fric, mon portable et sors de cette prison...cette nuit sera longue, ce soir sera magique. i was lost...i just followed the light and i found you...my angel. ~ liam james payne ~ rpertoire une toile et deux flocons de neige (texte gagnant writed) ______________________________________________ nouveau projet, nouvelle fiction. j'espre que vous aimerez. pour l'instant j'avance pas mal. laissez un commentaire pour tre prvenu. positif comme ngatif. lucile ~ 23 | 62 | share comment comment don't forget that insults, racism, etc. are forbidden by skyrock's 'general terms of use' and that you can be identified by your ip address (45.33.85.57) if someone makes a complaint. log in # posted on wednesday, 02 january 2013 at 10:21 am edited on saturday, 18 may 2013 at 10:37 am 1# forgive me... bouteilles fracasses. crne fracass aussi d'ailleurs. gueule de bois. non, pire qu'une gueule de bois. un lendemain de fte trop arrose qui durerait des mois, des semaines. un enfer, une douleur bien relle. une peur aussi qui me guette chaque seconde... me levant, trbuchant, avant de m'craser au sol. puis, pniblement, me relever, ouvrir ce putain de tiroir qui contient ses cachetons grce auxquels je vais mieux . je ne prends pas la peine de compter, nan, je prends la plaquette entire, histoire tenir la journe sans gerber comme un con ou m'vanouir, ou autre. je regagne ma chambre, ou plutt le taudis jonchs de bouteilles demie vide qui me sert de chambre et me rallonge sur mon lit. etrange d'ailleurs cette sensation de roulis. mme si le pire reste cet ternel marteau piqueur au fin fond de mon cerveau. quoique, quand j'y rflchis le bam bam il vient bien de la porte d'entre...fuck, un visiteuuuur. youpi ! sortons la musique, les ballons, les couleurs, et la joiiiie...bref, je me lve, ouvre moiti ma porte et tombe nez nez avec un blond aux yeux bleus...oh, merde again. mon meilleur pote. devant chez moi. lors d'une de mes gueules de bois mmorables mlangs aux mdocs...heeeeeell yeaaaah, ca va tre pique. il entre, fronant les sourcils devant l'odeur d'alcool et du joint pos sur le rebord de la fentre. avisant mon hall d'entre, il se dirige vers ma cuisine, ouvre mon frigo, le vide pour le remplir. ensuite, il part du ct de ma chambre. je le suis, doucement, lentement. il jure, gueule, peste mais ramasse ses putains de fuckin' de bouteilles la con qui soulent je continue, dans mon vieux jogging, le suivre, tel un zombie. techniquement, le terme exact serait un junkie.mais lorsqu'on est malade, a ne compte pas hein ? il est maintenant en train de me prparer un brunch. ufs, bacon grills, champignons, toast...l'odeur rgne en matre sur ma cuisine, mon appart', mais mon estomac, lui refuse toujours le moindre contact. mes jambes tremblent et encore une fois, je suis oblig de m'asseoir. il me sert, tel un pre le ferait avec son enfant. il me force manger. et moi, cloitr dans mon mutisme je triture du bout de la fourchette l'omelette se trouvant dans l'assiette. un gamin de cinq ans qui ne veut pas manger. un gosse de huit ans, capricieux, odieux avec ses parents pour une pauvre ptite part d'omelette. un ado de quinze piges, le casque toujours sur les oreilles, mchonnant un chewing-gum, refusant de manger, prfrant textoter table. je suis tout a la fois et pourtant tellement loign d'eux. parce que eux, ils ont le choix de manger. le choix de gueuler sur leurs parents, le choix de tout foutre en l'air. moi non, les cachetons ou la souffrance. la souffrance ou la mort. manger pour ne pas souffrir. qu'importe, quand on y rflchit bien, la souffrance sera prsente. les mdocs ? oh a oui, ils font de l'effet, mais pas ceux escompts j'imagine. quant manger... non, finalement, j'ai le choix. je peux me laisser mourir. ou continuer noyer ma douleur dans l'alcool. a laisser s'vaporer mon monde avec les joints...je pourrais oui faire comme cela, me laisser mourir. comme un lche. oh, non, pardon, j'aurais des obsques de roi. aprs tout, ne suis-je pas connu, et adul par des milliers de personnes ? ne suis-je pas un chanteur ? faisant partit d'un groupe internationales amis, international. un putain de bel enterrement. oh, a oui, j'en aurai un. fric, larmes, fausses apparences, business, fric. voil quoi rimerai mon enterrement... - tu exagres ! tu n'as rien mang. tu dois... - ferme la tu veux ? j'ai pas faim. j'en veux pas de tes conneries l. puis, arrte de t'occuper de moi merde, j'ai plus cinq ans, je suis pas ton gosse. - les mdecins ont dit que... - on s'en balance des mdecins ! en attendant ils foutent que dal, c'est pas eux qui subissent la douleur hein ! - on a...j'ai un espoir de te voir au studio cette aprs-midi ? - je...je sais pas. ca dpendra de mon tat. fous-moi la paix maintenant. je me lve de ma chaise...enfin, j'aimerai le faire plus rapidement, plus brusquement, mais mes muscles ont perdus l'habitude de la vitesse. mon ami s'approche pour m'aider, je lui lance un regard qui le fait se rasseoir. boitant, j'attrape ma bire au passage et m'enferme dans ma chambre. des sanglots me parviennent de derrire la porte...un connard, ces mdocs me font devenir un connard. sautes d'humeurs, perte de l'apptit, sueurs froides, insomnies elle ne me semblait pas si consquente cette liste d'effet secondaire la premire fois, et pourtant c'est dans ces moments l o je me rends compte qu'ils sont bien prsents. c'est aussi dans ces instants ci que je redeviens moi. que l'alcool, la douleur, la drogue, les antidouleurs s'cartent de moi et me laissent seul dans ma tte. que le masque de connard junkie disparat et que je me retrouve vulnrable. peur, peur, peur, dsespoir, peur, douleur, souffrance, peur. voici ce que je suis dans le fond. une loque humaine, un homme bris et tortur par la peur, par le fait de savoir que peu importe les actions ralises je ne tiendrai pas plus. la peur, le manque d'espoir et d'envie de vivre domine. je me sens tout simplement vide et vid. voil que a recommence, je pleurs. crise d'hystrie toujours suivie de larmes ensuite. magnifique, je suis combl. je crois que je commence raliser que ma main a bris la bouteille de bire et que, par consquent, je saigne. je n'en que faire du sang. mais bon, cause des mdocs, je dois me soigner de suite... sortant de mon antre, je dsinfecte et panse ma plaie. hsitant, je me dirige dans mon salon et tro
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